Télémoustique consacre cette semaine une enquête exclusive aux Belgo-marocains. Les données présentées sont issues d'une enquête réalisée par l'équipe du Prof Abdallah Saaf (Centre d'étude et de recherche en sciences sociales de l'Université de Rabat) à l'initiative de la Fondation Roi Baudouin (le rapport complet est disponible en cliquant ici) .
Bien que je ne partage pas l'ensemble des interprétations avancées par le rapport final, j'ai collaboré et soutenu la réalisation de cette enquête en aidant ces collègues marocains à réaliser les enquêtes de terrain en Wallonie. Quoi qu'on puisse en dire, cette enquête apporte des données nouvelles d'une grande importance pour tous ceux qui s'intéressent à la trajectoire et aux modes d'insertion de la communauté marocaine en Belgique.
Personnellement, le message principal que je tire de cette enquête, c'est qu'il existe un décalage entre le discours et les pratiques. Meme si la communauté marocaine continue à se définir de manière hybride (belge-marocaine, marocaine-musulmane, belge-musulmane ou simplement musulmane), dans la pratique, elle est de plus en plus belge au niveau de ses pratiques. C'est ce qu'a bien compris Pascal De Gendt, le journaliste qui est l'auteur principal de ce dossier du Télémoustique. Il a aussi eu la bonne idée de me donner la parole et de respecter avec une grande fidélité la teneur de mes propos. Je tenais à le souligner et cela d'autant plus que l'enquête révèle la persistance d'une méfiance très profonde de la population belgo-marocaine vis à vis des médias belges.
Pour consulter ce dossier, rendez-vous chez votre libraire ou ici
Bien que je ne partage pas l'ensemble des interprétations avancées par le rapport final, j'ai collaboré et soutenu la réalisation de cette enquête en aidant ces collègues marocains à réaliser les enquêtes de terrain en Wallonie. Quoi qu'on puisse en dire, cette enquête apporte des données nouvelles d'une grande importance pour tous ceux qui s'intéressent à la trajectoire et aux modes d'insertion de la communauté marocaine en Belgique.
Personnellement, le message principal que je tire de cette enquête, c'est qu'il existe un décalage entre le discours et les pratiques. Meme si la communauté marocaine continue à se définir de manière hybride (belge-marocaine, marocaine-musulmane, belge-musulmane ou simplement musulmane), dans la pratique, elle est de plus en plus belge au niveau de ses pratiques. C'est ce qu'a bien compris Pascal De Gendt, le journaliste qui est l'auteur principal de ce dossier du Télémoustique. Il a aussi eu la bonne idée de me donner la parole et de respecter avec une grande fidélité la teneur de mes propos. Je tenais à le souligner et cela d'autant plus que l'enquête révèle la persistance d'une méfiance très profonde de la population belgo-marocaine vis à vis des médias belges.
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